Des Rothschild à Bernard Arnault : révélations sur le vrai pouvoir profond
par Mike Borowski
L’État profond français ses financiers et ses marionnettes politiques.L’État profond français agit comme un vampire : il craint la lumière, vit dans les coulisses et se nourrit du pouvoir invisible. Ses visages sont connus : Rothschild, Arnault, Niel et leurs relais politiques. Ensemble, ils forment un réseau d’intérêts croisés où la finance, les médias et la présidence se confondent.Alliances familiales, carrières téléguidées et acquisitions médiatiques se rejoignent dans une mécanique de contrôle. Derrière les apparences démocratiques, l’État profond gouverne par l’argent, la dette et la propagande, tandis que les présidents qu’il propulse jouent le rôle d’acteurs dociles dans une pièce écrite ailleurs.
Emmanuel Macron incarne la fusion parfaite entre la finance et le pouvoir politique. Passé de la banque Rothschild à l’Élysée, il a été choisi pour incarner la continuité du système. Sa carrière n’est pas une ascension méritocratique, mais une construction planifiée par ceux qui possèdent l’économie réelle. Ce réseau d’élites issues des mêmes écoles, des mêmes cabinets et des mêmes cercles mondains verrouille l’appareil d’État.
Derrière chaque réforme présentée comme «nécessaire», on retrouve la main des marchés : dérégulation, privatisations, affaiblissement du service public. Macron n’est pas le président d’une nation souveraine, il est le gestionnaire d’une filiale de la finance mondiale.
L’État profond ne se contente plus de contrôler les élections, il façonne les consciences. Le pouvoir médiatique, détenu par les mêmes fortunes, assure la permanence du récit officiel. Les grands journaux, les chaînes d’information et les plateformes numériques servent d’armes idéologiques.
Ils fabriquent le consentement, définissent les «bons» et les «mauvais» discours, imposent le lexique du progrès et de la modernité. La censure ne passe plus par la répression, mais par l’omission et la moquerie. En contrôlant ce que les Français voient et entendent, l’État profond a supprimé la liberté la plus essentielle : celle de penser contre lui.
Bernard Arnault et la fabrication de la présidence françaiseBernard Arnault n’est pas seulement le roi du luxe : il est l’architecte discret du pouvoir contemporain. Par son empire LVMH et son contrôle d’une partie de la presse, il oriente le récit national. Ses journaux protègent ses intérêts et valorisent ceux qui lui ressemblent. Loin d’être un simple industriel, Arnault agit comme un stratège politique.
Il choisit ses protégés, définit les contours du débat et détermine les tabous médiatiques. En finançant l’information, il s’assure que rien ne remette en cause le modèle ultralibéral dont il est le principal bénéficiaire. Le citoyen croit s’informer, il consomme la parole de ses maîtres.
Le lien entre Arnault et Macron dépasse la relation d’influence habituelle entre pouvoir économique et pouvoir politique. Le premier a façonné le second comme un produit marketing destiné à séduire l’électorat bourgeois. Macron incarne la vitrine du mondialisme : jeune, lisse, rassurant pour les marchés.
Ses politiques favorisent systématiquement les grands groupes au détriment du tissu national. Les cadeaux fiscaux, la complaisance médiatique, la mise au pas des contestations : tout concourt à renforcer le règne de l’argent. En vérité, la présidence Macron n’est qu’un prolongement du conseil d’administration des grandes fortunes. Arnault ne gouverne pas depuis un bureau ministériel, mais depuis les tours où se décident les stratégies du capital.
Xavier Niel Rothschild et la toile du pouvoir profondXavier Niel complète le dispositif de contrôle en régnant sur la communication et les technologies. Propriétaire d’une part du groupe Le Monde et acteur majeur du numérique, il détient un levier décisif : la donnée et la narration. Son influence s’exerce non par la force, mais par la structure des flux d’information.
En maîtrisant les réseaux, il oriente ce qui est visible et ce qui ne l’est pas. Son alliance personnelle avec la famille Arnault renforce encore la cohérence du système. Ensemble, ils forment un bloc médiatico-financier qui impose le silence sur les vrais sujets : souveraineté, industrie, identité. Niel ne défend pas la France, il défend un modèle où la technologie sert le contrôle social au profit de ses pairs.
Les Rothschild, eux, constituent la racine historique du pouvoir profond. Leur empire bancaire a accompagné tous les basculements du pouvoir moderne, de la monarchie à la République. Leur influence repose sur une logique simple : prêter à l’État pour mieux le diriger. Macron, ancien de la maison Rothschild, n’est pas une exception mais une continuité. Par lui, la banque a placé son représentant à la tête du pays.
Depuis, chaque décision majeure semble répondre à une rationalité financière avant d’obéir à l’intérêt national. Les oligarques n’ont plus besoin de conspirer : ils détiennent tout. L’économie, les médias, les dirigeants – tout leur appartient déjà. Tant que cette lumière ne sera pas jetée sur leurs réseaux, la France demeurera captive d’un pouvoir invisible qui gouverne sans mandat et détruit la souveraineté au nom du profit.https://youtu.be/T0GbG7ciQ_UClaude Janvier
source : Géopolitique Profonde
https://reseauinternational.net/des-rothschild-a-bernard-arnault-revelations-sur-le-vrai-pouvoir-profond/